Kaoru-Chan

Inku Lied

Dimanche 18 juillet 2010 à 19:59


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Conservez tous les traits de ce beau visage comme ils sont, relevez seulement un des coins de la bouche, l'expression devient ironique et le visage vous plaira moins.



 
(Temarie -Naruto-)
 

Anko

Dimanche 18 juillet 2010 à 19:45

 
 
 
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Un journal coupé en morceaux n'intéresse aucune femme, alors qu'une femme coupée en morceaux intéresse tous les journaux.


 
Ouuuuh, très vieux dessin...

Anko

Mercredi 14 juillet 2010 à 14:35


 
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Tandis qu'un animal se tapit dans le noir pour mourir, un homme cherche la lumière. Il veut mourir chez lui, dans son élément, et les ténèbres ne sont pas son élément.

 

Anko

Mercredi 14 juillet 2010 à 12:33

 
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Ma vie est un sombre donjon, où seul mon cœur ensanglantée par la douleur, rouge flamboyant, dessine mon ombre malheureuse sur les murs de ma prison.


Sur l'original, j'ai fais les tatouages en rouge, mais ce n'est pas passer au scanner...
 
(Lucy -Elfen Lied-)

Anko

Mardi 13 juillet 2010 à 22:29

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"La vie se passe comme ça : vous naissez, vous mourez, et entre les deux, vous avez mal au ventre."


Anko

Lundi 12 juillet 2010 à 12:31

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 Attention: Allusion au yaoi càd, relation homosexuelles entre deux hommes.

 

J’étais la, dans cette cage dorée qui me servait d’observatoire. Même le diable ne pourrait avoir de meilleurs sièges que le mien et pourtant je ne voudrais pas faire partie de ce spectacle. Pourquoi alors je reste les yeux rivés par une fascination obsessionnelle sur le corps devant moi.

Je frissonne au contact de la lame sur la peau de l’autre, lame fine et tranchante découpant très bien et laissant couler des sillons derrière elles, la peau qui tendrement se fait cartésienne. Mes hurlements sont ceux de l’autre, je jouis peut-être, à moins que ce ne soit lui qui me transmet cela. Car ces cris ressemblent à des encore, à des j’en veux plus, allez viens, donnes-en pour son argent.

On prend soin de bien laver les plaies pour que je voie les cartes que cela fait. Ensuite le bourreau me montre une partie de la cuisse, il découpe un carré et frotte la lame entre l’épiderme et le muscle, pour que le muscle rougi soit bien visible. Pour que je puisse compter chaque filament. On m’offre d’en manger et devant mon mutisme, c’est à l’autre qu’on force à faire avaler. On pratique ces coupures partout sur le corps, en appuyant bien à chaque halètement du pauvre et prenant bien soin de ne pas y aller d’un coup pour que l’autre s’évanouisse.

Ce processus dura plus de 4 heures. Un scalpel a la minutie morbide. Le bourreau avait envie d’un accouplement bestial et me montra comment c’était le vrai amour, la vraie jouissance. Saupoudrant de sel les muscles vifs, faisant couler des chandelles blanches se teintant et empala ostensiblement le corps mou de notre victime à moitié pendue, de son érection. J’étais dégoûtée, mais envieuse des plaisirs que goûtait le bourreau.

Puis satisfait, il décida de jouer aux dards avec le corps et après les dards se fut la hache qui trancha l’objet de désir qu’il enfonça dans le rectum rouge de l’homme. Je voulais jouer moi aussi!! Mais, une ombre en moi me dictait la bienséance, m’empêchait de me laisser aller à ces démences. Notre homme était un homme-tronc maintenant et le bourreau fatigué de la survie de l’homme, décida d’en finir et on le laissa crever lentement enterré dans de la terre pour que tranquillement il s’asphyxie.

Le bourreau me prit dans ses bras et me sortit de ma cage dorée…Vas-y petite sirène, la viande est pourrie à souhait. La prochaine fois, papa t’en laissera plus. »

 

Anko

Lundi 12 juillet 2010 à 12:27

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La jeune fille de petite taille au visage de porcelaine encadré par de longs cheveux noirs bouclés, des yeux bridés couleur mordoré, courait à travers la grande bâtisse sombre, les larmes aux yeux. Jeanne ne s’attardait pas plus de quelques secondes au même endroit, elle traversait les pièces à une allure impressionnante, sans se préoccuper des personnes alentours qui la regardaient, la dévisageaient, se demandaient ce qu’elle avait.

Elle s’en moquait, peut-être même ne les voyait-elle pas. Elle courait, elle tombait parfois, se relevait toujours. Elle ne s’arrêtait plus, elle sentait une douleur fulgurante inonder ses membres. Elle ne pouvait pas s’arrêter, elle voulait partir, elle voulait disparaître, s’envoler loin d’ici, quitter cet endroit où elle se sentait si mal.

Elle ne voulait plus rester ici, elle voulait retourner chez elle. Ici, ce n’était pas chez elle. Se n’y serait jamais. Chez elle, c’était avec son frère, Thomas, là-bas, elle se sentirait bien. Elle se réfugierait dans ses bras, il la protégerait. Il ne la laisserait plus jamais seule. Plus jamais, elle ne voulait plus jamais être seule.

Elle tomba à nouveau, mais elle eut du mal à se relever. Ses jambes engourdies par sa course ne la portaient plus. Elles lui envoyaient un message on ne peut plus clair :


«Tu n’iras plus très loin à cette allure.»


La petite brune resta un moment assise, sanglotant en silence. Elle savait que quelqu’un ne tarderait pas à la retrouver, à aller la chercher. Ils ne la laisseraient pas partir, elle le savait pourtant. Mais elle n’était qu’une enfant, ils ne pouvaient pas la traiter comme une adulte, comme quelqu’un qui fait passer son devoir avant ses sentiments. Elle ne pouvait pas le faire et espérait intimement ne jamais pouvoir y arriver.


Jeanne voulait faire passer ses amis, sa famille, ceux qu’elle aimait, avant tout le reste. Protéger tout le monde, protéger son entourage jusqu’à en mourir. C’est ce qu’elle voulait faire. Mais elle ne voulait pas être seule. Quand on est seule, tout est différent.


Tout paraît si noir, si terrifiant, si grand, et à la fois si étouffant, que vous vous sentez comme un claustrophobe enfermé dans une cave. Une cave dorée, une cave fermée à clé sans qu’on ne puisse le savoir avant de n’être rentré dedans. Elle n’avait pas choisi d’avoir une des clés permettant d’y rentrer, elle n’avait pas choisi tout ça. Le destin avait choisi pour elle, en faisant abstraction de ses sentiments, en faisant abstraction de ses convictions profondes, en faisant abstraction d’elle même…


Qu’elle les haïssait, à ce moment là, qu’elle les détestait. Son frère était là, quelque part. Qu’elle aurait voulu les brûler, les détruire, et ne plus jamais les voir. Qu’elle aurait voulu rêver, se réveiller dans son lit, avec son frère qui la regarderait en souriant, lui disant qu’elle avait fait un cauchemar. Alors elle saurait que tout ça n’avait jamais été réel et qu’elle ne serait jamais seule. Mais elle n’arrivait pas à se réveiller, le bateau que la brune avait emprunté avec ses parents pour rejoindre son frère avait bel et bien naufragé.


Elle se releva lentement, et se mit à marcher, d’abord à pas hésitant, puis plus assurés, plus rapides. Les fréquents coups d’œil qu’elle jetait derrière elle lui indiquait que pour l’instant, elle était seule dans ce long couloir, les murs étaient faits de grosses pierres poly formes, des chandeliers y étaient accrochés et des lustres richement décorés, suspendus au plafond. Une arche séparait le mur de la bibliothèque où elle avait pu lire fables et citations de Jean de La Fontaine (Puisqu’il est des vivants, ne songer plus aux morts).
Ou encore un extrait de Flaubert -Voyage en enfer- (Et j’étais au haut du mont Atlas, et de là je contemplais le monde… C’est que ce monde, c’est l’enfer !)
Ainsi qu’un livre étrange qui expliquait les règles d’un jeu au temps duquel les sages croyaient encore à la magie – Reality -


Personne ne semblait la suivre… Elle se mit à trottiner, à un rythme plus mesuré que quelques minutes auparavant. Maintenant, il n’était plus question de sortir le plus vite possible, mais de réussir à sortir tout court, l’orphelinat était prison, un peu comme La petite sirène qui n’était autre qu’un affreux Kraken, il ne faut pas se fié aux apparences. Sa robe ivoire était tachée et couverte de poussière, ses genoux nus, éraflés par les chutes. Mais elle affectait à ne pas en tenir compte, alors elle ne les sentait presque plus. Parce qu’elle ne voulait plus les sentir.

Elle arriva dans le hall, où quelques personnes marchaient en silence, sans la remarquer. Elle n’eut aucun mal à se faufiler dehors, retenant ses larmes pour ne pas alerter les personnes présentes. Un vent frais lui claqua au visage, et l’obligea en premier lieu à fermer les yeux. Elle les plissa, resserra les pans de sa veste contre son corps, avança.
L’orphelinat était près d’une falaise.
Une falaise, c’était un joli endroit, pour prendre son envol. S’envoler, comme un oiseau, comme un ange auréolé de lumière, comme ces quelques mots oubliés : boutillon, carrelet, fouloire, friquet et ouillette. Elle savait que si elle s’enfuyait, ils la retrouveraient et la ramèneraient. Mais ils n’iraient pas la chercher au fond d’un ravin. Encore faudrait-il qu’il reste quelque chose à aller chercher après une chute de plusieurs dizaines de mètres…
Elle s’avança, jusqu’à pouvoir contempler le vide et s’assit au bord. Un sentiment de peur indescriptible l’envahit, la clouant sur place. La peur de l’inconnu, la peur de la solitude, la peur de la mort. Si elle mourait, serait-elle à nouveau seule ? Peut-être que non, mais Thomas si. Il serait seul, il serait sans doute triste, se sentirait sans doute responsable. Il sauterait peut-être aussi, après. Tout ce qu’elle voulait, c’était les protéger, pas les tuer…

« C’est dangereux, ici, tu sais. »

Elle se retourna, surprise. La voix appartenait à un jeune garçon d’une douzaine d’année, aux cheveux ébouriffés blond foncés et aux yeux aciers. Il avait l’uniforme de l’orphelinat avec le même signe qu’elle sur la poitrine, coté cœur. Elle le connaissait vaguement, elle l’avait déjà vu errer dans les couloirs, une fois. Mais, elle n’arrivait pas à s’en souvenir correctement, elle ne voyait que le visage de son frère, qui hantait ses pensées. Il s’approcha d’elle, et contempla à son tour le vide.

« Ca fait très haut d’ici. Si tu tombes, tu ne t’en sortiras pas dit-il, d’un ton froid. A moins que tu ne sois une nageuse hors pair, et même dans ce cas là en fait, tu te briseras le cou en tombant… »

Elle le regarda encore un instant, et détourna son regard vers le vide, devant elle.

« Tant mieux… » murmura t-elle d’une voix éteinte par la tristesse et la solitude.

Le blond s’assit lui aussi et soupira. Il n’aimait pas devoir consoler. C’est d’ailleurs pour ça qu’il ne le faisait jamais. Il préférait être seul et n’en faire qu’à sa tête, ce que sa conscience lui intimait. De toute façon il ne pouvait l’empêcher de sauter si elle le voulait vraiment et ne comptait pas l’enchainée à un pilier non plus.

« Mourir, c’est abandonner, c’est lâche, on ne saute que si on n’a plus rien qui nous retienne… dit-il de sa voix toujours aussi distante.
…et on a toujours quelque chose pour nous retenir. Une personne, une conviction, une envie, un choix… Toujours.«

Il marque une courte pause, puis continua :

« Je n’aime pas les lâches. »

Jeanne le regarda, sans arriver à répondre quoi que ce soit. Toujours quelque chose qui maintienne en vie ?
Qu’est-ce qui la maintenait en vie, elle, alors ? Qu’est-ce qui l’empêchait de sauter, alors que rien ne la retenait, physiquement ? Rien de matériel ne l’empêchait de se lever et de sauter dans le vide. C’était moralement, qu’elle n’arrivait pas à se décider. L’image de son frère lui apparut violemment, lui arrachant des larmes cristallines au gout salé. Elle voulait sauter, mais elle ne pouvait pas…Elle n’y arrivait pas…

« Tu ne sauteras pas, de toute façon. »

Elle se releva, et lui lança d’une voix entrecoupée de sanglots :

« Comment tu peux l’affirmer, tu ne peux pas savoir ! »

Il lui lança un regard étonné et se releva à son tour. Il était plus grand et semblait avoir vécu plus de choses qu’elle aussi. Ca se voyait à travers ses yeux. Il semblait constamment souffrir. Cette lueur était masquée par un voile maladroit d’indifférence, mais elle l’avait vu, cette lumière, faible mais présente.

« Si tu le voulais, tu aurais déjà sauté… »

Pas de réponse. Que répondre à ça de toute façon ? Elle balbutia quelques mots incompréhensibles et se remit à sangloter. De ses yeux aciers, il la regarda, ne sachant plus quoi faire. Il aurait pu lui parler, tenter de la calmer, de l’aider. Seulement, il ne savait pas quoi dire, il ne savait pas pourquoi elle avait voulu en finir.
Elle avait l’air tellement triste et désespérée, ses longues boucles malmenées par le vent, sa robe pleine de poussières, de déchirures, ses jambes égratignées…


« Que lui est-il arrivé ? » Se demanda t- il.


Pour le moment, la jeune fille était sortie d’affaire. Elle se jeta au coup du garçon, nichant sa tête contre son épaule, serrant ses bras autour de son cou, pleurant à grosses larmes cette fois. Ca faisait du bien, de pleurer. Comme si toute sa tristesse et ses larmes, évacuaient son corps pour de bon. Elle savait que ce n’était qu’une impression mais ça la réconfortait.
Le jeune homme sursauta, surpris, ne sachant que faire. Il se sentit rougir et poussa un soupir décontenancé, tandis qu’il passait sa main dans les cheveux soyeux de la fillette, en pleurs sur son épaule.

« Oh, c’est bon, c’est pas la peine de pleurer… » dit-il en tentant de prendre un ton froid, presque de reproche, dont à l’évidence, elle n’avait que faire, puisqu’elle continua de sangloter contre lui.

C’était pour ça…qu’il n’avait jamais voulu avoir d’amis. Ca fait vraiment trop mal, de perdre quelqu’un. En ne s’attachant à personne, on ne souffre pas, même si ça fait aussi mal, de n’avoir personne sur qui compter… Lawnda le savait, qu’en restant constamment seul, il aurait peut-être plus de peines qu’en ayant des amis. Mais, à long terme, il savait aussi que cela lui permettrait de renforcer cette carapace qu’il construisait lentement autour de lui, sans réussir à y arriver complètement.

« Je ne veux pas être toute seule, je veux pas être toute seule… » Sanglota la petite fille en s’accrochant plus fortement au garçon.

« Tu sais, c’est bien parfois, d’être seul. » répondit-il, en espérant par là la faire lâcher prise.

« Non, c’est horrible d’être seul. Personne ne devrait être seul, c’est bien trop triste…  » Murmura t- elle en commençant à endiguer le flot de ses larmes. »

Nouveau soupir de la part du blond.

« Tu peux me lâcher, maintenant ? Sinon je vais être obligé de te pousser ! «  dit-il d’un ton qui se voulait strict, et menaçant dans l’absolu.

« Non. Tu l’aurais déjà fait, sinon… »

Elle marqua une pause, s’écarta de lui, et saisit un pan de sa veste entre ses doigts frêles.

« Dis, en attendant que mon grand frère revienne, tu veux bien rester avec moi…? »

Il ouvrit de grands yeux étonnés et la regarda, incrédule. Elle exerçait une légère pression sur sa veste, et le regardait, l’air suppliant. Il ne savait pas ce que venait faire son grand frère là-dedans, mais il savait très bien que s’il n’était pas avec elle, c’est qu’il ne pouvait pas. On n’est pas placé en orphelinat si on a un tuteur… Il saisit sa main et la fit lâcher sa veste, avant de repartir. Quand il vit qu’elle ne le suivait pas, mais restait prostrée là-bas, frissonnant face aux bourrasques, il lui fit un signe de la main.

« Aller, viens avant d’attraper froid. »

Elle esquissa un sourire, et le rejoignit en courant, comme si soudain toute sa douleur s’était envolée. Elle agrippa son bras, et sécha les dernières larmes qui roulaient le long de ses joues pâles.

« Lâche-moi ! » Grogna t-il en levant les yeux au ciel.

« Non, sinon tu vas me laisser toute seule… »

Il y avait tant de frayeur dans sa voix, qu’il n’osa rien dire. Il ne comptait pas promettre quoi que ce soit, quand on promet, on prend le risque de ne pas pouvoir tenir ce qu’on à dit. Et il ne voulait pas. Alors il se contenta de la repousser gentiment, et continuer de marcher à ses cotés.

« J’ai pas envi d’être obligé d’aller te chercher au fond du ravin. Je n’aime pas l’eau… Alors je ne partirais pas tu vois… »

Fin.


Anko

Samedi 10 juillet 2010 à 23:50

Ano...J'ai jamais su quoi dire dans un présentation...

Tout d'abord, je suis une fille de 18 ans (24/10/??)... D'origines que j'ai oubliées, je vis dans ce petit pays qu'est la Belgique, vous savez, au dessus de la France ?

Taille: Hum...So rikiki... (Voir Ulquiorra -0.5 cm ou 1m + le chiffre qu'a sur la joue Hisagi +0.5 cm = ma taille *sort*) Sa c'est de l'équation mdr.

Poids: Ahah !...Et bien...

L'adresse de mon compte ff.net: Watermelon-Chan

Ce que j'aime: Yaoi \o/, dessiner (j'deviendrais folle sans ça), mon chien, les manga, les films d'horreur (kya), Bleach et ses bishos, mon PC, mon GSM, mon MP4, ma PSP, Internet, boire (et pas de l'eau ^^), sortir 'fin ça dépend avec qui ­­¬¬, Aizen Sosuke, Les Simpson, dormir -record 16h d'affilées- (influence "Primera" ?), Grimm/Ichi, Ai/Gin, ma meilleure amie -que j'ai conditionnée au yaoi \o/- hein ma Neko-Chan ; ), les pastèques & melons... la liste est encore longue...

Je le dis et le redis (y'aura toujours des gens qui ne comprennent pas U.U): Je t'aime mon Aizen So-kun ♥‿♥

Ce que je n'aime pas: Les hypocrites, l'intolérance (mais c’est de l’intolérance de ne pas tolérer l’intolérance ?! *sort*), le saumon fumé, le filet Américain, les betteraves et les abats… Ce sont des choses que je ne peux même pas respirer sans avoir une forte nausée (c’est dommage, y’a tellement de gens qui aiment pourtant..) quant aux abats, je ne peux tout simplement pas les avaler U.U ça reste coincé…, les couleurs fluos qui piquent les yeux et sont agressives, mes devoirs (souvent rendus en retards d'ailleurs U.U) ni les autres corvées, les math (berk), les filles et les couples hétéros dans les manga (sauf en second plan), et autre... (C'est moi ou cette liste est plus longue que l'autre ?)

Les jeux vidéos: Aaaaaaah nous y voila, Nolife que je suis. Tous les Tomb Raider, Resistance 2, Tekken 5 (d'ailleurs Bryan à une étrange ressemblance avec Kensei...à méditer...), Crash Bandicoot, Mario, Silent Hill (Pyramid-Head *bave*)

Voilà, j’espère ne pas vous avoir fait perdre trop de temps (pour ceux qui ont eu le courage de lire tout jusqu'au bout, sans avoir les yeux qui se ferment tout seuls) ; )

Kaoru-Chan.

Bye nee


... Etant une grosse feignasse et ne sachant pas faire de présentation, j'ai copier/coller celle de mon compte fanfiction.net... ¬¬

Anko

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